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Theme d'amour
J’étais seul en mon âme et en mon cœur,
La musique était refuge à ma torpeur,
Sur ses notes je fuyais ailleurs,
Là où toutes les heures
Carillonnent le bonheur.
Je rêvais la nuit, le jour, un temps meilleur,
Où lumière perce les heurts de la noirceur,
Où les nuages vont à la mer,
Naissent fleurs au parterre,
Où l’amour brûle en mon cœur.
Dans le délire de mes pensées,
Rêve consumé,
Toi seule j’ai toujours aimée.
Éloix
Février 2013
Musique : Secret that can’t be told, Xiaoyu’s theme, Jay Chou.
Image: lenirvana.overblog.com
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Commentaires
3Bernadette RegnierMercredi 13 Mars 2013 à 11:43Les fleurs de l'hiver resplendissent dans nos coeur comme l'étincèle de l'espoir,rêve Paul-André demain sera meilleur.......Bisous
4Paul-AndreMercredi 13 Mars 2013 à 17:275titannVendredi 22 Mars 2013 à 05:016Paul-AndreVendredi 22 Mars 2013 à 07:117drolet yvesVendredi 29 Mars 2013 à 15:35c'était la vie
que mo n rêve a rêver
Elle
a pas lent
dessinant dans la volute d'un songe
un autre rêve a ancré
et moi qui sans me souvenir
cherchant dans tous mes ailleurs
je lui criait mon amour..
Elle d'un souvenir
d'un songe
qu'un songe a rêver pour moi.....
et quand enfin
venu de tous les lointains de moi-même
j'ai pu lui tendre la main
toutes les dimenson
si infinis étaient elle
doucement
comme les chansons que ma mère me chantait
on fondu en moi-même
et je vous ai vu
toi fille du rêve
que le rêve
a rêver pour moi.....
yves
29032013
Un grand plaisir vrai et littéraire que de te lire à nouveau Yves.
Si tu permets, j'en ferai une page de ce blog à elle seule afin que tous et toutes puissent partager cette inspirante poésie.
Merci Yves.
9drolet yvesDimanche 31 Mars 2013 à 15:53FAIS TOI PLAISIR
mais n'oublie pas
il est venu
il a vu
il a fini par vaincre
et il a sacré son camp l'affreux....
moé j'te dis....
si nous n'avions tout ce coeur
ni cette foi
si nous n'avions
que ce que l'on prétend que nous sommes
comment dis moi
aurions pu reconnaitre qu'il était divin
comment n'y avons nous pas pensé
car pour reconnaitre que quelqu'un était en soi divin
Il a bien fallu reconnaitre ce divin chez moi
et de la
ne vous surprenez pas quie je marche sur les eaux...
mais pensez y un peu
vous allez la a dire
il est dieu
il est dieu
il est dieu
mais vous ne vous rendez jamais compte de votre miracle d'exister
allez guérissez vos frères malades
ayez pour eux cette divine pensé qui les rendra heureux...
panser leuurs plaies qui depuis si longtemps les habite
car le divin
ne vous en rendez vous pas compte
ne s'étale qu'au milieu de la vie
dans ce qu'elle a de plus chaud et de plus intime
alors
dans l'affreux silence de votre amertume
dans la caverne oublié
au fond de vous même
la ou vous nourrissez l'angoise et la peur
ou vous n'osez respirer
tellement est lourd le poid de votre imutile présence
faite silence
et soyez convaincu qu'il est la dans la lézarde du vivant
indicible et inexprimable
silencieux et omnipuissant
gérant dans les combes envers et malgré vous
la trame la plus infime de votre être
jusqu'au moindre trace sur vos ongles
au décoloré de vos cheveux
jusqu'a cette ride au coin de l'oeil
jusque dans le regard qui dans la mer des insignifiants partages
renoue sans même que vous le sachiez
a cet autre
qui n'attendait que votre main pour vous aimer
la divine flamme
qui vous titille les orteilles
au matin froid
et qui vous glisse ces mots:
"Si ce matin tu ne te réveille
jamais je ne ressuciterai
et jamaisPpâques ne sera
et jamais ne sera cette couleur dans le ciel
qui fera que lorsque tu la contempleras
tu sauras
qu'il est la et qu'il veille
la divin qui nous hante
qui nous habite
qui nous fait
il est venu parmi nous
le verbe
il s'est fait moi
il s'est fait toi
il s'est fait nous
et c'est parce qu'enfin ce matin
je le reconnais
nous le reconnaissons
et d'un unique regard le reconnaissons
nous le savons jusqu'au coeur de nous
qu'il peut ainsi
en cette paques magestueuse
en cet aurore indicible
se lever comme le soleil
infiniment généreux
et dans un immense sourire
comme en cet instant merveilleux ou je vous l,écris
enfin disparaitre
s'en retourné
vous laissant a vous
en cet instant magnanime
le soin de la divinité....
veilleez sur elle
elle nous a toujours habité
j'te dis moé
il est venu
il a vu
il a laissé sa trace
ensemensé le monde de sa toute puissance
nou faire naître
a cette autre substance
nous y bercer
eta présent ce matin
alors
qu'en lui
a lui nous nous réveillons
come u soleil il s'élève
deployant ses ailes
nous laissnt en héritage
cette divinité avec laquelle nous nous réveillons
joyeuse paque
paul
Eloix et tous les autre
de toi et de tous
vous
nous les enfanst naturel du divin...
en route depuis ce matin
vers l'infini.......
yves
31 mars 2013
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Dans le froid de l'hiver, un feu qui brûle...
je ne reçois plus tes posts Eloix
Bisous