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Si j’étais un nuage/ Si j’étais un soleil
Si j’étais un nuage
Je ponctuerais le ciel
Je serais de passage
Et voisin du soleil
Si j’étais un soleil
Je veillerais jaloux
Sur ta douceur de miel
Et tes ombrages doux
Je ferais des pompons
Je m’effilocherais
En gracieux blancs moutons
Je me défilerais
Je jouerais avec toi
Je te suivrais partout
Mes rayons infiltrés
Dans tes voyages fous
Si j’étais un nuage
Ombre douce offrirais
Aux gentils amoureux
Qui toujours vont par deux
Sur les bancs des jardins
Dans l’odeur des jasmins
Si j’étais un soleil
Je serais ton écho
Inverse sans pareil
Etrange alter ego
Et nous serions tous deux
Toi le frais, moi le feu
Je serais le décor
Environné d’or
Des oiseaux de la mer
Et de ceux du désert
Je ferais des merveilles
Dans lesquelles amusée
Tu voguerais pareille
A de libres voiliers
Les soirs où tout flamboie
En des couchers de soie
Des aubes où le ciel rose
Prend le parfum des roses
A la fin de mon jour
Je planterais pour toi
Tous mes plus beaux atours
Pour te dire ma joie
Sous les airs nostalgiques
Des guitares magiques
Pour danser le désir
Marine/ Alain
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Vous souvenez vous de ces pays…
Qui n’ont existé que l’instant de l’âme
Battement de l’être
Dans le je t’aime
Que l’on prolonge d’éternité en éternité
Juste à cet instant
Où la vie retient son souffle
Et ou enfin elle vous répond du regard…
Infime seconde qu’a captée l’éternité
Comme pour ce souvenir de ce jour là
Où l’être incarné croyait …
Comme vous le croyez, vous aussi
Dans cette fulgurante flamme
N’être seul en l’éternité
Pour disparaitre la seconde suivante;
Et dans une autre plaine
Dans un autre lieu
Tout aussi éphémère
Vous avez osé l’embrasser,
N’attendant d’autre réponse
Que la victoire du geste volé
Ne vous doutant
Pas qu’elle attendait ce baiser en rêve depuis…
Et s’accrochant à vous elle vous le rendait…
Et il y avait cette autre nuit…
Où loin du rêve dans la brume et l’obscur
Elle s’est présentée
Elle aussi s’abandonnant au désespoir de ne pas vous retrouver
Était venue elle aussi méditer sur la rive
Où à peine un rayon de lune vous avait distingué…
Et cet autre instant dans cet autre monde
Au volant d’on ne sait plus quel véhicule
Vous retournant vous l’avez aperçu
Et cet autre pays
Où au matin alors qu’une vapeur de jour
Trainait encore
A peine levé à peine réveillé
Ce nuage tout moelleux de rosée
Vous avait ramené au même lieu
Sous la même banderole
Pour célébrer
Ceux qui dans l’univers
Se rencontraient pour la légendaire première fois …
Qui sans jamais se dire
N’est que l’étincelle d’un feu qui jaillit en même temps
Dans cent mille mondes
Perdu dans des milliers de cosmos
Et de secondes
Qui sans qu’on le sache
En des milliers de mondes
Germe au feu de l’instant
Où au travers ces vous
Au travers ces mois
Nous assumons d’exister
D’aimer
Présent en toute éternité
Vous souvenez vous de cette infime seconde où…
Yves Drolet
MP3 Message d'amour
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shutttt!
il est
il a été
il est toujours...
au cœur du sacré
qu'on ne dit plus
mais qu'on fait....
shuttt!
il est
il a été
il est encore
là
le feu ancien
qui ne cesse de bruler
et qui toujours nous torture...
shuuttt!!
ne dites rien
personne encore ne sait
que la flamme on l'a pris dans nos mains
qu'elle nous a assez bruler
qu'il ne nous reste plus rien...
qu'un cœur, nos bras
pour la porter jusqu'aux cieux
et se faire pour nous et les nôtres
un demain!
shutttt!....
à se perdre dans le silence
on finit par en apprendre la musique..
et à la fin reste la présence...
Yves
salut p'tit père
ouais!... j'pense que je vais encore me laisser aller a quelques perversions littéraires
pour bien souligner toutes les autres que je ne dis pas...
ah! la vie...
quand ça te prend…
sais-tu avec le temps
c'est encore dans le doigt..
j'pensais que ce serait pire ,
mais mon dieu que j'aime ca...
un vice
un vrai de vrai, du pure péché...
mon dieu que c'est bon....
ouais mais j'espère que tu me donneras le bon dieu sans confession...
parce que j'ai pu grand confessionnal dans mon coin...
oh! prie pour moi ...
parce que j 'ai encore des tonnes d'insanités pour toi...
Cà c'est
si tu veux
sinon mets la police dans le coup.
y coure encore
que veux-tu je crois que c'est leur destin....
laissons là ces belles choses et retournons à nos calamités
le monde se meurt sans nous, y faut pas les laisser tout seul trop longtemps
y finirait par ...
j'ose même pas y penser...
ouais c'est dit
je m'en retourne chez les bédouins d'Amérique du nord
les fornicateurs de mots et les laveurs des sentiment sur les pages publiques
du moyen-âge invertébré...
il ne me reste plus qu'à apprendre les nouveau patois du coin ..
salut je me remets au travail,,,
y manquerait plus que cela qu'il ne me reste plus de mots..
j'te dis moé....
que le bon dieu te bénisse et laisse pas le diable te charrier..
tu vaux mieux que cela....
ici snorkle
ici snorkle
je retourne a la base.. .
dans trois deux un...
yves
...
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