Tu t’en vas Étoile en me laissant ici-bas,

Tout seul, comme ça avec ma foi…

Submergé d’espoir, aveuglé d’amour,

La tête pleine de rêves, le cœur brûlant d’ardeur,

C’est à l’avenir que tu me laisses à faire;

En mon esprit ta seule Aura comme outil.

J’ai mal de ton éclipse annuelle…

L’An sera… Et toujours sans toi.

« Encore un peu, juste un peu,

   Encore un peu de Lumière,

   Encore un peu, un peu d’amour,

   Encore un peu, encore un peu avant le jour,

   Encore un peu, avant toujours. »

Éloix 31-12-2013

Inspiré d'un poème de Marine DUSSARRAT :

"Variations nostalgiques" (C) : http://emprises-de-brises.over-blog.com/article-variations-nostalgiques-121808421-comments.html#anchorComment

À tous mes ami(e)s internautes, poètes

et ma famille:

Bonne & Heureuse Année 2014 !

Paul Piché, Y'a pas grand chose dans l'ciel à soir.

 (Chant Ensai)

 (Musique)

Dans le ciel s’approchait l’Étoile
Brillante et solitaire
Allait-elle percuter la terre
Tout réduire en poussière

Étoile, Étoile
Écoute nos prières
Pourquoi détruire notre terre
Nous sommes des pauvres erres

Étoile, Étoile
Tu vis de Millénaires
Pourquoi mourir sur la terre
Nous sommes des éphémères

Étoile, Étoile
Soit géostationnaire
Répands sur nous ta lumière
Réchauffe nos chaumières

Étoile, Étoile
Nos cœurs ne sont pas d'pierre
Deviens notre Tutélaire
Tu n’seras plus solitaire

Éloix
Noël 2013

   Musique: Ensei, Yuki Kajura, ce poème n'est pas une traduction de la chanson de Yuki Kajura qui elle parle d'une princesse des étoiles vivant dans un film d'animation qui est encore un grand succès.

Les oiseaux du ciel

L’est installé dehors, sur l’appui de fenêtre,
Libre service ouvert de janvier à Noël.
Bien m’en a pris, d’ailleurs, car il faut reconnaître,
Qu’il est très fréquenté par les oiseaux du ciel. 

Chaque aube que Dieu fait, sitôt la matinée,
Ces petits affamés s’y donnent rendez-vous.
Ainsi je peux jouir, tout au long de l’année,
D’un spectacle charmant, et très rare surtout. 

Rouge-gorge, pinson, tourterelle, mésange,
Voisine avec le merle et avec le moineau.
C’est pour moi, je l’avoue, un bonheur sans mélange
De jouir librement de ce vivant tableau. 

Certes cela ne va pas sans quelque bataille,
Car les places sont chères, et c’est à coups de bec
Que les plus combattifs peuvent faire ripaille.
Mais tous auront leur part du festin ; c’est avec

Grande obstination, beaucoup d’impatience
Que perchés sur un arbre ils guettent le moment
Ils attendent leur tour, et quand l’un d’eux s’élance,
Sur la mangeoire c’est le grand rassemblement. 

Je ne me lasse pas de voir voler et vivre
Ces oiseaux familiers, compagnons de mes jours.
Qu’importent les saisons, le soleil ou le givre,
Ils sont là, je les vois, ils seront là toujours.

Tu es le beau cadeau que nous fait la nature,
Voyageur de l’azur, prodigue de  son chant.
Encor merci tout plein, magique créature,
Je te donne si peu, et tu me donnes tant. 

              25 avril 2013

Renée-Jeanne Mignard

(CopyrightFrance.com)

"Voyagez parmi les fleurs du jardin de la conscience : http://rj-mignard.fr/speciale_regards.htm "

"Dévotion (musique) par Michel Pépé"