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" Follies ! "
Nuit chaude et enveloppante
Les pieds me frétillent d’envie
Pas un chat à l’horizon…
Yes !
Dansons !
Trouver une musique
Enlevante
Enjouée
Pétillante
En vie !
Make me smile !
En route l’Ipad !
Salutations au public fantôme
Parfum de roses en arôme
M’accordez-vous cette danse M’ame Diaphane ?
Yo!
Un pas à droite
Un autre à gauche
Une claquette au milieu
Yo!
On tourne !
Pas de tourniquet sur les mains
L’espace est restreint
C’est un balcon
Pas un salon !
Hola !
On peut sauter
On peut vriller
Le plancher n’a pas cédé ?
Faut « r’commencer »
Ah!
Ça fait du bien
De lâcher son fou
C’est plus gamin
La nuit surtout.
Ah!
C’est Cou-cou !
M’ame Diaphane
Votre sourire me réjouit
Vos yeux sont mes étoiles
J’y perds mon âme.
Zut !
Vite, vite M’ame Diaphane
Entrons dans mon salon
Ma voisine est au balcon
Doigt tournant autour de son crâne
« T’as perdu la raison ? »
Éloix, 07/2013
Musique : Make me smile , Van Syla.
6 commentaires -
À ceux qui aiment, la vie apporte des fleurs
À leurs anathèmes, elle ouvre grand son cœur.
Je pense à ceux qui pleurent
Un cataclysme dérailleur
Je pense à ceux qui dans la noirceur
Perdent la foi du bonheur
À ceux qui aiment, la vie offre l’avenir
À leurs anathèmes, elle offre son sourire
Je pense à ceux partis pour un ailleurs
Que l’on prétend meilleur
Je pense à ceux laissés « revers »
Rose noire à la boutonnière.
À ceux qui aiment, la vie donne la passion
À leurs anathèmes, elle donne la rémission
Je pense à ceux qui crient leur douleur
Sous le poids de leur malheur
Je pense à ceux qui d’abandon
En perdent la raison
À ceux qui aiment, la vie tend l’inouï
À leurs anathèmes, elle tend la main qui bénit
Aux anathèmes, peu elle dit :
« Blessés, mais en vie…
Éloix, juillet 2013"Coeur blessé" de lysdesaron.overblog.com
"Wounded but alive par Van Syla" (Musique).
4 commentaires -
Mon dieu ...
mille ans
tu me fais rêver...
tu sais
j'ai arrêter de compter aux alentours de cinq ou six cent ans...
Je ne sais "pu" si déjà j'en ai mille ou mille cinq cent
Mais à quoi bon...
Je sais qu'un sourire d'enfant
en vaut bien cent ans
un mot de toi une centaine "d'nées" de plus
et je ne parle pas d'un poème
qui doit bien se traiter dans la bourse de mon coeur
pour cent ou deux cent ans de plus...
J'te dis tu me fais rêver...
Je me souviens des sourires de mon père
c'est mille ans
tant qu'aux larmes de ma mère
et sa chaleur et sa tendresse
personne n'a jamais su les noter
et juste à me rappeler,
cent mille ans sont déjà passés...
Comprenez-moi bien
je tiens pas à compétitionner
nous avons vécu ensemble si longtemps
et je ne sais pas encore
pour quoi tu nous a quitté
alors que j'ai poursuivi...
Pas que j'avais le choix
Heureux sois-tu d'avoir eu ainsi ce choix...
Moi, l'oeuvre n'était pas achevée
Je ne sais encore combien sont encore passés
Et quand comme ce soir
je te lis
et je t'écoute
je sais que dans l'infini
tout ce temps
n'est que l'ombre que l'on invoque pour se rappeler...
Tu étais
mon frère tu es...
à quoi bon se mentir
la vie se fonde dans l'être et l'être dans l'éternité
Là il n'y a que nous
tout le reste va le fil des années
nous
avouons-le-nous
nous sommes
aini que tous les aimés
emportés avec nous au delà...
et par conséquence:
à quoi bon ces années
Un cent mille
à quoi bon
quand je te retrouve au coeur de moi
dans l'être que je suis
que nous sommes devenus
un sourire d'elle, de toi,
vaut l'éternité...
Yves
09-07-13
3 commentaires -
"Mille ans... " C'est la pièce musicale que j'écoute.
Ces mille ans... comme dans attente... comme dans bonheur et paradis... ces mille ans qu'une âme rêve de naître et vivre sa vie... ces mille ans de silence avant la cloche du baptême... ces mille ans qu'on voudrait passer qu'à aimer et être aimé. Ces mille ans pour que la pierre devienne poussière et qu'un coeur batte la chamade sous un ciel bleu.
Ces mille ans pour en vivre cent, peut-être...
Je voudrais pouvoir en revivre quelques ans, quelques jours et même quelques heures, juste pour ne pas les oublier, pour les emporter avec moi quand le centenaire s'éteindra et qu'un autre mille ans d'attente recommencera...
Qui sait, la pierre devient poussière et celle-ci de la terre...
Alors, alors peut-être l'âme reprend vie. Et peut-être, aussi, a-t-elle mémoire de ces parcelles du temps jadis. Je ne le saurai pas et personne ne saura...
Sauf ce Dieu qui n'existe plus pour personne tellement on l'a évoqué à mal propos, à mal usage, que tous ou presque ont voulu effacer son nom. Et pourtant cette musique des "mille ans" m'évoque aussi sa longévité, sa pérennité sous tous les dénies et tempêtes. Chut ! Il ne faut pas éveiller les mal propos, les mal usage qu'on a exorcisés...
Mille ans... C'est le temps que je voulais te consacrer, c'est le temps que je souhaitais avoir pour explorer le monde avec toi et répandre, avec toi encore, cette vie, ce partage, cette richesse de l'abondance que cultive l'amour en son Éden pour nourrir les âmes qui ont si longtemps attendus d'être aimées.
Mais je n'ai eu que ce temps qui m'a été donné et celui qui me reste; je sais que nous l'avons tous les deux utilisé à plus de ses cent boisseaux de blés, car nous avons tous deux aimé, cela je le sais et nous aimerons encore...
Nous aimons, hier, demain...
Il y avait mille ans que j'attendais...
PAD07/2013
Enfant endormi, sculpteur ?
"A thousand years, The piano Guys".
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